Grosseto, Italie / Un article paru dans LA NAZIONE sur la conférence “L’ART RENCONTRE LE SOCIAL”, organisée par le mouvement STRADA ALLA VITA (route à la vie) pour le lancement d’un concours d’idées sur l’éducation, la prévention et la culture de la route / traduction de Claudio Martino, AIFVS AUFV / 22.12.2016 / https://goo.gl/PO2iYP
“Un monument qui sensibilise à la sécurité routière”
Lors de la conférence “L’art rencontre le social” le mouvement “Strada alla vita” a présenté un avis-concours national
21 décembre 2016 / Chronique de Grosseto
DANS LA PHOTO: Stefano Galgani et Clelia Formiconi à la manifestation des victimes d’accidents de la route
Grosseto, le 22 Décembre, 2016 – “Associer à travers les merveilles de l’art pour ouvrir des espaces de réflexion et comprendre le sens de la vie.”
Ceci est le but ultime de la conférence d’hier “L’art rencontre le social” et du résultant avis national “La culture de la route” promus par le Mouvement “Stradallavita” en collaboration avec l’AUFV-onlus (Association unitaire proches et victimes – organisme sans but lucratif).
On a commencé avec une conférence, tenue hier après-midi dans la salle de conférence de Confartigianato, pour ouvrir les coeurs et les esprits à la beauté de l’art, mais surtout pour comprendre le potentiel des représentations artistiques comme véhicule de messages sociaux qui restent dans la culture et puis dans les comportements de chacun de nous.
Une conférence pour expliquer cette théorie, mais aussi pour présenter la première application pratique: un avis de concours à niveau national pour un monument artistique particulier, inédit, mais surtout communicatif. Et la communication que ce monument devrait fixer dans les comportements individuels est la sécurité routière.
Le mouvement “Stradallavita” est coordonné par Clelia Formiconi, depuis plusieurs années engagée, ainsi que l’AUFV-onlus (Association unitaire proches et victimes), dans la promotion de la sécurité routière.
“Mon but ultime est le désarmement routier – dit Clélia Formiconi – c’est-à-dire rendre les routes à la libre circulation d’un élève de quatrième année de l’école primaire.
Pour faire ça il est nécessaire de promouvoir des politiques de mobilité alternative qui mettent au centre des intérêts en jeu les personnes dans leur dimension humaine”.
“Maintenant que, aussi avec l’aide du quotidien LA NAZIONE et de son directeur Pier Francesco De Robertis, nous avons obtenu la loi sur l’homicide routier – a déclaré Claudio Martino -, il faut aller plus loin et créer réellement une culture de la sécurité.”
Soit la conférence d’hier, “L’art rencontre le social”, soit l’avis du concours national pour le monument sont des initiatives en mémoire de Gabriella Formiconi, qui pendant des années s’est battue sur les questions de sécurité routière après la mort tragique, en 1992, à seulement 22 ans, de son fils Pierpaolo Sarubbi juste dans un accident de voiture.
À la conférence d’hier ont participé, en plus de Clélia Formiconi et Claudio Martino, aussi le vice-maire Luca Agresti, Paola Svetoni, Mauro Papa de la Fondation Grosseto Cultura, David Tammaro président de l’association artistique “Plinio Tammaro” et l’artiste Antonella Giordano.
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“Un monumento che sensibilizzi alla sicurezza stradale”
Durante il convegno “L’arte incontra il sociale” il movimento “Strada alla vita” ha presentato un bando-concorso nazionale
21 dicembre 2016 / Cronaca
Stefano Galgani e Clelia Formiconi al presidio delle vittime degli incidenti stradali
Grosseto, 22 dicembre 2016 – «Aggregare attraverso le meraviglie dell’arte per aprire spazi di riflessione e cogliere il senso della vita». Questo l’obiettivo finale del convegno di ieri «L’arte incontra il sociale» e del conseguente bando nazionale «La cultura della strada» promossi dal Movimento «Stradallavita» in collaborazione con l’Associazione Unitaria Familiari e Vittime onlus.
Si è partiti con un convegno, tenutosi ieri pomeriggio nella sala conferenze di Confartigianato, per aprire i cuori e le menti alla bellezza dell’arte, ma soprattutto per comprendere la potenzialità delle rappresentazioni artistiche come veicolo di messaggi sociali che restino nella cultura, e quindi nei comportamenti di ciascuno di noi.
Un convegno per spiegare questa teoria, ma anche per presentare la prima applicazione pratica: un bando di concorso a livello nazionale per un monumento artistico particolare, inedito, ma soprattutto conunicativo. E la comunicazione che questo monumento dovrebbe fissare nei comportamenti individuali è la sicurezza stradale.
Il movimento «Stradallavita» è coordinato da Clelia Formiconi, da anni impegnata, insieme all’Associazione Unitaria Familiari e Vittime (in acronimo AUFV) nella promozione della sicurezza stradale.
«Il mio obiettivo finale è il disarmo stradale – dice Clelia Formiconi – ovvero rendere le strade alla libera portata di un bambino di quarta elementare. Per far ciò è necessario promuovere politiche di mobilità alternativa che pongano al centro degli interessi in gioco le persone nella loro dimensione umana».
«Ora che anche grazie all’aiuto del quotidiano La Nazione e del suo direttore Pier Francesco De Robertis abbiamo ottenuto la legge sull’omicidio stradale – afferma Claudio Martino – è necessario andare oltre e creare proprio una cultura della sicurezza».
Sia il convegno di ieri «L’arte incontra il sociale», sia il bando di concorso nazionale per il monumento sono iniziative in memoria di Gabriella Formiconi, che per anni si è battuta sui temi della sicurezza stradale dopo la tragica morte, nel 1992, a soli 22 anni, di suo figlio Pierpaolo Sarubbi proprio in un incidente in macchina.
Al convegno di ieri hanno preso parte, oltre a Clelia Formiconi e a Claudio Martino, anche il vice sindaco Luca Agresti, Paola Svetoni, Mauro Papa della Fondazione Grosseto cultura, David Tammaro presidente dell’associazione artistica «Plinio Tammaro» e l’artista Antonella Giordano.
http://www.lanazione.it/grosseto/cronaca/monumento-vittime-strada-1.2769702